Je suis rentré de Londres avec 5 shakuhachi à restaurer…
Certains de ces travaux sont raisonnables, d’autres plus délicats avec notamment des demandes pour des ligatures traditionnelles incrustées avec le rotin en finition; et l’une d’entre elles représente un vrai challenge…!
1 Tozan (inconnu), 2 Tom Deaver – Une vieille Kinko (Nampo Shozan) – une autre kinko assez agée.
J’avais en effet pressenti depuis quelques temps qu’il y avait un réel besoin de services de réparations en Europe ce qui m’a incité à l’étudier depuis un an;
Et sans en faire vraiment la promotion à Londres, je me retrouve déjà avec beaucoup de demandes…
Dans les mois à venir, les travaux de restaurations devraient représenter la moitié de mon temps de travail; ce sera forcemment un peu au détriment de la fabrication mais c’est aussi pour moi un très bon moyen d’étudier la facture des Ji-ari de différents fabricants et différentes époques.